Coupure “presque” totale de l’internet en Egypte

En Egypte comme en Tunisie, la bataille pour la démocratie se joue sur internet avant même de se livrer dans les rues. Pour se rendre à une manifestation, encore faut-il savoir qu’elle a lieu, où et quand… Facebook, Twitter, les SMS, Blackberrys et I-phone ont beaucoup servi là où tous les autres médias classiques, radio, télé ou journaux, sont rigoureusement verrouillés. La bataille a été rude aussi sur le front virtuel. On a parlé de ces attaques des Anonymous, des hackers pour la démocratie, qui auraient réussi à bloquer tous les sites officiels tunisiens, peu avant la chute de Ben Ali. Et le lendemain, un internaute, Slim le twitteur, après un passage en prison où on lui avait rasé la tête, arrivait, au gouvernement comme secrétaire d’État à la jeunesse et aux sports…


Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *