Michel
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One-state, one peace, one world, pour en finir avec l’horreur sans fin.
Ce n’est pas seulement l’entreprise mortifère de Tsahal ou celle du Hamas qui sont à désarmer. Il n’y a pas seulement quelques dizaines d’otages israéliens à libérer et un cessez-le-feu à conclure sans délai. Ce ne sont pas seulement les Juifs terrorisés et les Palestiniens martyrisés qu’il faut aider à retrouver le chemin de la raison. C’est l’Humanité entière qui doit faire un sérieux effort sur elle-même pour mettre un terme radical à sa course suicidaire.
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Maintenant, c’est maintenant
Si ce journal avait une vocation, ce serait de marteler l’idée la moins en vogue : construire la paix universelle par le droit international, en finir avec les guerres. Cela doit être aujourd’hui la première de nos revendications, tant son application sans délai est une urgence absolue, à Gaza comme en Ukraine, comme au Soudan et partout où on ne peut que gagner au silence des armes.
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Urgence du droit international
Pour les guerres commerciales comme pour les conflits armés, il n’y a qu’une solution : l’arbitrage international. Face aux diktats commerciaux comme pour mettre un terme aux massacres en Ukraine comme en Palestine occupée, il faut mettre la guerre hors-la-loi, et que la planète se ligue pour imposer la paix. Et en finir avec la course suicidaire, si nettement engagée aujourd’hui, en dépit du bon sens.