MERCI DE FAIRE TOURNER DANS VOS RESEAUX.
Sono était au FSM de Dakar, militant fort pacifique, arrêté avec de nombreux
autres militants, il manifestaient entre autre pour les expulsés des SRINS ,
du Square Boucicaut, et ceux de la Courneuve et pour demander la libération
des 45 paysans Maliens incacérés (dont deux tués), qui luttaient contre
l’expulsion de leurs terres agricoles dont ils sont propriétaires.
Manifester aussi contre le nucléaire ne semble encore etre inscrit à l’ordre
du jour pour le gouvernement Japonais!
FERMETURE DES CENTRALES NUCLEAIRES ET DES PRISONS
Solidarité!
S.
URGENT :
Arrestation à Tokyo d’un militant anti-nucléaire et membre de réseau NoVox
Le 23 septembre, Sono Ryota, un des organisateurs de plusieurs manifestations à Tokyo et initiateur des « 50 jours de manifestations consecutives pour la liberté » sur un thème différent chaque jour, a été arrêté et emprisonné.
Sono Ryota est un militant anti-nucléaire, syndicaliste du « Freeter Union » (syndicat des jeunes précaires) et membre de NoVox Japon. Le 23 septembre, la coordination des mouvements sociaux contre la toute sorte de discrimination et pour la solidalité internationale avec le slogan « il n’y a pas de frontières pour le droit de vivre » a organisé une manifestation pacifiste dans un quartier populaire et multiculturel de Tokyo, souvent la cible d’attaques par les mouvements extrème droite.
Ce jour-là, cette manifestation contre le racisme exigeait aussi la libération de militantEs arrêtés au Mali contre accaparement de leur terres et pour apporter son soutien aux familles en lutte explusées de leurs logements où à la rue en France.
Pendant la manifestation, les policiers sont intervenus violement.
Cette intervention brutale des policiers a eu lieu suite à un ordre « arrêtez-le » visant directement Sono Ryota.
Pour se saisir de Sono, les policiers ont tabassé les manifestantEs qui essayaient de le protéger, puis ils l’ont menotté et conduit avec force dans la voiture de police. Selon l’avocat qui a pu le rencontré, Sono était blessé au visage et son corps couvert de bleus. Une prise forcée de ses empreintes digitales et des photos ont été pratiquées pourtant elles ne sont autorisées que lors des arrestations pour les criminels et les étrangers. A sa contestation contre la violation des droits humains fondamentaux, un policier lui a répondu « tu n’a pas de droits humains ».
Manifestement la police sur ordre a decidé en mettant ce militant en prison de faire taire une voix importante du mouvement anti-nucléaire et des sans voix du réseau NoVox Japon.
Nous vous appellons à envoyer des messages de soutien à Sono signer la petiton à l’adresse mail : 923solidarity@gmail.com pour exiger sa mise en liberté et le respect du droit de manifester, de s’exprimer pour que vive la democratie.
Réseau International NoVox.
[Source : NoVox]
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